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OPTIMA Cougar (Modèle 2009)

Mon premier essai sur vélo couché s'est passé en 2008, chez AIRODIN, basé à l'époque à Biganos avant de migrer au centre ville d'Andernos. Le magasin spécialisé dans le vélo couché était géré par Mark SHERPENZEEL, alors importateur pour la marque Hollandaise OPTIMA. La gamme était large et le choix pléthorique entre le "low racer" et le célèbre OPTIMA Baron, "mid racer" avec les, Lynx, Stinger et Cheetah, ou "high racer" avec le Cougar puis le High Baron, modèle sorti en 2013 et qui fut le dernier de la marque avant que celle-ci disparaisse. La production était alors passée de Hollande à Taïwan, à l'heure ou le carbone avait envahi le marché du vélo de route classique.

Après un bref essai sur le Lynx, je décidais de prendre en main le Cougar. Il m'a fallu un petit quart d'heure pour faire le tour de la zone. Bien sûr, avec mes réflexes acquis sur vélo traditionnel, il me faudra à peu près 1500 km pour me sentir à l'aise sur un vélo couché. Enthousiasmé par le confort, le "look" du vélo couché et les conseils de l'"homme de l'art", je passe commande en ajoutant les options carbone sur la bôme et le siège. Il m'aura fallu attendre pratiquement un an, pour le recevoir. J'avais obtenu, à l'époque, dès le troisième mois passé le prêt d'un vélo d'essai l'OPTIMA Oryx (vélo tout suspendu, avec pneu VTT qui sera le remplaçant dans la gamme du célèbre vélo couché de voyage l'OPTIMA Condor).

J'ai conservé 4 ans l'Optima Cougar en l'ayant amélioré, notamment en passant des roues MAVIC Ksyrium Elite (typée route en 700x23) à des Crossmax équipées de pneus en 26" et section 25 mm. Le confort s'est amélioré, la rigidité aussi du fait de la diminution du rayon de la jante et la taille de son moyeu en 135 mm (au lieu de 110 mm). J'ai aussi modifié la transmission en mettant deux roulettes TERRACYCLE, supprimant, de ce fait, les guides chaîne sur les deux brins de celle-ci. Ce vélo était un bon modèle, polyvalent, stable, facile à prendre en main. Son seul point faible, étant la liaison base/amortisseur à air/siège. Sur des montées de cols avec des pourcentages, un effet de "pompage" pouvait réduire le rendement sans pour autant apporter un avantage au confort proportionnel. Aujourd'hui, les suspensions ont pratiquement disparu car les jantes et surtout les pneus, ont considérablement compensés leur suppression.

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